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lundi, novembre 11 2013

Bilan du Cinquième Week-end 2013 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

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Malgré un week-end programmé à la toussaint, 12  "braves" avaient réussi à se libérer pour une "soufflerie en bande organisée".

Il faut avouer que l’agenda était très serré, entre les disponibilités de nos hôtes à "l’Oasis" et les calendriers de Kantuta et d’Intiwatana. La bonne surprise de ce rassemblement, fut la présence parmi nous de notre ami Marc de l’équipe de sicuristes d’Argenteuil.

Au programme deux révisions approfondies : Un Kantu – Huallima et le Suri sicuri Arawi, et un nouvel Italaque "Quiabaya", ainsi qu’un exercice d’improvisation sur un thème polyphonique et polyrythmique de musique d’Amazonie.

Le cru Wiñayataqui 2013 va s’achever les 30 novembre et 1er décembre, une date qui scellera les 10 ans d’existence de nos rencontres avec plus de 40 morceaux travaillés, repris, affinés... par vraisemblablement plus d’une soixantaine de souffleurs.

Il semble intéressant d’initier un bilan de cette année et pourquoi pas des précédentes, pour essayer de bien préparer la suite, en répondant du mieux possibles aux attentes de chacun, en analysant les contenus, tout en respectant nos objectifs associatifs, et le caractère de convivialité qui nous anime depuis l’origine.

samedi, octobre 26 2013

Bilan du Quatrième Week-end 2013 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

Bienvenue dans le nouveau cadre de l’Oasis à Montéléger (26), pour les 15 amis du collectif, venus se replonger dans l’ambiance, après 4 mois de coupure estivale.

Connaissance est faite avec les nouveaux locaux, ma foi fort accueillants, et petite collation, car il est bien connu que nous détestons jouer le ventre vide !

Le programme va débuter par de rituels exercices collectifs destinés à travailler la technique et la maitrise du souffle.

Nous allons ensuite tout naturellement rebondir sur notre expérience de Cairani, en reprenant trois des morceaux bossés au printemps pour la circonstance, "cuatro de diciembre", "Cholita Cairaneñita" et "Tacna querido". Tout ça aussi peut-être histoire de garder une osmose entre ceux qui y étaient, et ceux qui n’avaient pas pu en être.

Il faut dire que durant cette coupure de 4 mois, les "Grands voyageurs" avaient gardé un contact régulier depuis le Pérou et la Bolivie avec leurs compagnons restés au Pays.

Ils furent ainsi un peu leurs yeux et leurs oreilles, en leur envoyant quelques messages électroniques agrémentés de clichés glanés durant ce périple.

Un break après le repas de midi, permit de visionner tous ensemble, quelques vidéos retraçant une partie de la fête de la "Virgen del Carmen" de Cairani.

Dimanche fut consacré à la reprise de deux standards de notre répertoire "Sentimiento" et "Sicuri Arawi". Il est convenu, afin de ne pas les laisser tomber dans les oubliettes, que nous continuons ponctuellement à revoir les anciens morceaux appris.

Lors de notre prochain rendez-vous début novembre, nous aurons encore quelques documents à visionner et commenter, pour prolonger encore un peu les plaisirs de la fête !

dimanche, juin 30 2013

Guitare Charango, bilan du 2ème Week-end 2013 « cordes amérindiennes »

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

Les 11 et 12 mai, place aux cordes amérindiennes du collectif Wiñayataqui pour un second week-end 2013.

4 guitaristes le samedi et 5 charanguistes le dimanche (Seb, bienvenue au Club !), sont venus chercher la bonne parole et surtout les bons plans et conseils de notre vénéré et respecté référent : Julio.

Le niveau moyen des aficionados est homogène et les difficultés techniques à surmonter vont crescendo, d’une révision initiale de quelques rythmes et lignes de basses standards (huayños, etc…..), jusqu’aux complexes enchaînements du charango campesino de Potosi.

La suite en octobre, qu’on se le dise !

Week-end Amitié Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

Joli mois de mai

Le calendrier n’affichait aucun rendez-vous pour les sicuristes du collectif Wiñayataqui en ce moi de mai.

De plus un stage quena envisagé dans la programmation initiale de l’année 2013, n’avait pu se mettre en place faute de combattants !

Néanmoins, le désir de se rencontrer a prévalu et trois membres d’Intiwatana : Martine, Yves et votre serviteur en l’occurrence, ont joint l’agréable à l’utile et ont répondu à l’invitation de leurs amies savoyardes pour un week-end convivial à "Bourg les Maurice" les 4 et 5 mai ; au menu : quena, musique d’ensemble et ballade au grand air.

Quelques fidèles attirés par la perspective de distiller notes et mélodies à l’envie, ont rejoint le groupe, et c’est une douzaine de mordus, qui ont planché samedi et dimanche matin, pour un travail collectif mené dans la bonne humeur : vidala, sanjuanito et taquirari à l’appuie.

L’accueil, toujours à la hauteur, a grandement contribué à la réussite de cette rencontre musicale associative, placée sous le signe de l’amitié.

dimanche, décembre 9 2012

Association Kantuta : Une année de pratiques musicales « Wiñayataqui »

Lors de l’exercice 2012, l’association Kantuta (26 France) a organisé 8 ateliers et un " évènement " dans le cadre de ses actions statutaires.

Ces ateliers en week-ends, avaient pour thème :

  1. Les flûtes traditionnelles : fédérer et développer en France, la pratique des musiques traditionnelles des communautés andines, principalement de la Bolivie et du Pérou.
  2. Les cordes amérindiennes : approfondir les connaissances et techniques de 3 types d’instruments : la guitare, le charango et charango campesino, le bandolin équatorien.

Le domaine pédagogique et technique de ces rencontres était assuré encore cette année, par notre estimé et compétent mentor, Mr Julio ARGUEDAS.

L’évènement annuel en 2012, était la participation des ateliers de flûtes interrégionaux "Wiñayataqui" au festival international de ROMANS "Echanges, Cultures et Traditions du Monde." Nous avons accueilli au cours de l’année 2012, 31 personnes différentes sur l’ensemble des ateliers et de l’évènement :

  • 4 participants en moyenne sur les 3 week-ends "Cordes amérindiennes"
  • 19 participants en moyenne sur les 5 week-ends de flûtes traditionnelles
  • Et 30 "sicuristes" lors de" l’évènement 2012", participation des ateliers interrégionaux au festival de Romans (Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Région parisienne, Guyane)

17 morceaux de flûtes traditionnelles ont été travaillés ou révisés au cours de cette année : Kantus, Italaque, Suris sicuris….

La totalité des vidéos réalisées au cours de ces rencontres ont été mises en ligne sur internet, par l’intermédiaire du site « Intiwatana.net » accompagnés de commentaires et d’informations. Amis des cinq continents, merci à vous de vos remarques et suggestions, dont nous nous efforçons toujours de tenir compte, même s’il est parfois difficile de répondre à tous. En dehors du respect des valeurs traditionnelles des musiques que nous pratiquons et dont Mr Arguedas est le garant, nous attachons une importance toute particulière à l’état d’esprit et à la convivialité de nos activités. Par delà de la musique, la notion de partage a soudé et cimenté notre groupe.

Nous sommes trop conscients de l’importance au quotidien, de ces valeurs identitaires pour les peuples d’Amérique latine à travers leurs traditions et leur culture, pour en dénaturer le sens profond. C’est avec humilité et admiration que nous pénétrons discrètement leur univers, en pratiquant avec beaucoup de modestie leurs musiques.

Asociación Kantuta: un año de prácticas musicales « Wiñayataqui »

Traducción al español/castellano

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Bilan du cinquième Week-end 2012 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

20 participants à cet ultime rendez-vous 2012 à Châtuzange, malgré deux défections de dernière heure, ce qui témoigne bien là, de la vitalité de notre groupe.

Après la joie des retrouvailles, notre travail du samedi matin va porter sur le Suri sicuri "Arawi". Un échauffement avec de nombreux exercices techniques, propres à cette famille de Flûtes si particulière, en sera le préambule. L’après midi va être consacrée à une reprise des deux titre de "Cairani" étudiés cette année, "cuatro de diciembre" et "El Caplina" et un travail plus précis sur les syncopes et les relances typiques de ces morceaux. En fin de journée, nous revoyons également afin de bien les fixer, un de nos succès récent "Sentimiento sicuri", un moins récent mais revu et corrigé "San Miguel" et un ancien que nous aimons bien "Abia Yala"…..Pas inutile de se rafraîchir un peu le cerveau ! Juste avant le repas du soir !

La traditionnelle Peña Libre se poursuit assez tard, et chacun peut se replonger dans ses partitions et chansonniers pour entraîner l’aréopage ! Il faut digérer la succulente "Forêt noire" confectionnée par Yves, notre fine fourchette (Tiens un anniversaire !) qui nous a gratifiés de spécialités dont il a le secret tout au long de l’année ! Dimanche, quinze fans encore présents, vont tourner à nouveau le suri "Arawi" et les deux "Cairani" en s’habituant à les enchaîner. Pour clore, encore quelques révisions : Abia Yala, pour ceux qui l’ont découvert la veille, et deux autres anciens "Flor de Ilavenia" et "Dos Sicuris", rapidement remis en mémoire.

Le rideau se referme sur cette saison 2012, avec des projets à venir, et non des moindres, puisqu‘un stage "en situation" devrait se dérouler au Pérou en 2013, expérience unique pour une immersion musicale totale. Les réjouissances ici chez nous n’en seront pas moins au rendez-vous au travers de week-ends Wiñayataqui Flûtes et cordes, dont la fréquentation en 2012, nous conforte dans notre démarche associative musicale.

Notre satisfaction, n’a d’égale que les "satisfecit" du coach ; dont il va gratifier les participants : leur implication, leurs progrès constants, chacun à leur niveau dans l’affirmation de leur pratique, ainsi que ce magnifique état d’esprit qui règne sans se départir à chaque rencontre.

Nous sommes reconnaissants envers tous les amis sicuristes, passés par Châtuzange cette année, d’avoir témoigné de tous les bienfaits qu’ils retirent des week-ends "Wiñayataqui" notamment sur le plan des énergies positives qui s’en dégagent.


samedi, novembre 24 2012

Guitare Charango, bilan de la saison 2012 « cordes amérindiennes »

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

En cette année 2012, l’association Kantuta a organisé de manière expérimentale, un atelier sous forme de 3 stages dits de "cordes amérindiennes". Ces stages, à l’origine axés sur la pratique traditionnelle de la guitare et du charango, s’adressaient à des musiciens plutôt "confirmés" selon l’expression consacrée. Ils se sont déroulés les 25 et 26 février, 2 et 3 juin, et 27 et 28 octobre en Drôme à Châteauneuf sur Isère.

Le premier défi était de trouver un nombre suffisant de personnes intéressées, pour pouvoir prendre en charge les frais de l’intervenant (4 personnes minimum), intervenant qui a pour la circonstance adapté ses conditions à nos contraintes. L’homogénéité et la régularité du groupe inscrit sur les trois dates, a permis de mener à bien cette première expérience ; les trois stages ont pu être assurés, et le contenu respecté, et même bonifié par un travail complémentaire sur le Bandolin équatorien.

Les exercices techniques sur les gammes et lignes de basses, sur l’exécution des rythmes de base et leurs variantes, ont précédé l’apprentissage de quelques pièces du répertoire traditionnel, notamment en ce qui concerne le charango campesino de la région de Potosi et le Bandolin. A travers certains de ces morceaux, nous avons pu travailler l’interprétation collective, avec ses plaisirs harmoniques, pour d’autres morceaux plus complexes, un cheminement personnel reste encore à faire. Des documents concrets ont été conservés de ces week-ends, sous forme de supports vidéo laissés à disposition des stagiaires pour approfondir "la question".

Il nous semble possible de poursuivre l’expérience en 2013, en gardant le seuil de 4 participants (jusqu’à 8 maximum), ceci sur le plan des conditions et modalités pratiques.

Un atelier pour débutants ayant déjà une pratique et une maîtrise de base de l’instrument, sera proposé en complément de l’atelier "musiciens confirmés".

Nous espérons que cette évolution permette de continuer à apporter des réponses aux attentes des participants de tous niveaux, dans le respect d’un label qualité reconnu par tous, celui de la démarche et des contenus pédagogiques dispensés par Julio Arguedas.


dimanche, octobre 21 2012

Bilan du quatrième Week-end 2012 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")


20121013_23.08_011.JPG Pour ce quatrième week-end, (qui en fait est notre cinquième rencontre de l’année en incluant le festival de Romans au mois d’août), 20 participants étaient présents à Chatuzange, notre lieu de rassemblement fétiche !

Le programme de notre ami Julio, sera bâti en grande partie autour d’une consolidation des acquis, pour ces 2 derniers week-ends 2012, et des retouches ponctuelles sur des morceaux déjà rodés.

Il apparait intéressant par exemple, et pour commencer, de tenir compte des remarques reçues sur le blog du site, faîtes par des internautes Latino-américains, que nous remercions ici au passage.

Cela concerne deux titres en particulier : "San Miguel" avec document vidéo à l’appui, pour ce Huayno de Qhantati Ururi de Conima au Pérou, et pour le "cuatro de diciembre" de Cairani ; ces deux morceaux vont être repris et modifiés sur les parties concernées, afin de rester totalement dans l’esprit de la tradition.

Nous aurons en outre, travaillé deux autres morceaux, qui pour l’un, demandait révision et finalisation, le suri sicuri "Arawi ". Pour l’autre, dans la continuité du premier Cairani, c’était la mise en place d’un second morceau de cette région "La Caplina", seule nouveauté du week-end.

Nous n’insisterons pas cette fois ci sur les intermèdes gastronomiques et musicaux de cette session, qui ne se démentent pas, au fil des stages !

Pour conclure la saison, il nous reste le stage cordes des 27 et 28 octobre à Châteauneuf, et le dernier rendez-vous de flûtes traditionnelles à Chatuzange, les 24 et 25 novembre.

Hasta luego


vendredi, juillet 13 2012

Ateliers Interrégionaux Wiñayataqui 2012 - Festival de Romans

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")


romans1_2012.jpg Les 30 juin et 1er Juillet, le calendrier a voulu que nous offrions un auditoire aux membres du collectif, en faisant correspondre notre 4ème date de stage avec le début du Festival de Romans à une dizaine de Kilomètres seulement de notre lieu de rencontre habituel.

Nous avions de longue date pris des contacts avec l’organisateur du Festival International « échanges, cultures et traditions du Monde » : l’association Empi et Riaume de Romans sur Isère. Il paraissait cohérent pour l’organisateur de faire une place à notre collectif, émanation d’une association Drômoise, dans la mesure où nous pouvions nous intégrer à la palette des différents groupes programmés. Notre domaine d’intervention était de plus assez large, puisqu’allant de la prestation scénique à la déambulation et aux arts de la rue. Nous avons ainsi pu rassembler 25 sikuristes, (et encore sans la limite posée par l’organisateur nous pouvions dépasser la trentaine) ; Nos amis Parisiens comme lors de chaque évènement annuel venaient nous prêter main forte.

Il est à noter que durant les semaines précédant la date fatidique, tous les participants sans exception avaient tenu à répéter et peaufiner le répertoire :

  • en sous groupes géographiques, de Bourg Saint Maurice à Grenoble, Valence et Gap à Paris
  • individuellement pour certains

Il faut dire que le répertoire présentait quelques difficultés, notamment "les petits derniers" et quelques anciens morceaux un peu délaissés. Les préparatifs allaient bon train : confection de quelques ponchos supplémentaires par nos amis de Grenoble, échanges de mails et fichiers MP3, préparation d’un panneau emblème de la délégation, problèmes administratifs à régler avec l’organisateur pour les badges, les horaires, le stand etc…Le repérage sur le terrain, la coordination avec notre amie Geneviève à Chatuzange pour les nuitées, etc…..

Le samedi 30 juin, le rendez vous était donné à 8h30 chez Geneviève pour un départ groupé vers Romans. Notre prestation débutait par une "aubade" au Kiosque de la place Jules Nadi, avant de déambuler de places en places à travers la vieille ville de Romans, en alternance avec les autres délégations invitées au Festival. Le repas de midi était pris en commun avec tous ces groupes et s’avérait être un moment convivial et cosmopolite ou voisinaient les musiciens Slovènes, les danseurs et danseuses de Tahiti, l’euphorie de la délégation Paraguayenne, le sage groupe des jeunes d’Empi et Riaume etc…..

Notre déambulation se poursuivait au cours de l’après midi à travers la ville, et la soirée s’achevait par un passage des groupes sur podium au cours duquel nous pouvions présenter trois morceaux au public Romanais. Nous nous retrouvions en fin de soirée à Chatuzange pour un moment de détente, avant de nous séparer pour une nuit réparatrice.

Dimanche matin, le temps plus qu’incertain nous laissait longuement dans le doute, quand à la tenue du défilé-parade dans les rues de Romans. Finalement, la menace de la pluie incitait les organisateurs à épargner les groupes et délégations aux costumes particulièrement fragiles et à préserver pour la suite du festival.

Il nous revenait donc avec les danseurs d’Empi et Riaume, d’assurer l’animation de rues de cette matinée en espérant que les cieux soient cléments! La chance était avec nous, et nous pûmes avant la "radée" de 13h00 faire entendre nos Kantus et Sikuris en traversant le grand marché dominical, et à nouveau sur la place Jules Nadi et sous le Kiosque.

Notre contrat rempli, nous pouvions laisser l’orage s’abattre sur la ville en déjeunant à la "Cafét". Pour la plupart d’entre nous le retour passait par Chatuzange : premier bilan très positif et séparations échelonnées, avec toujours un peu de nostalgie comme d’habitude - rendez-vous pris pour "la prochaine".

Il faut maintenant nous pencher sur l’avenir, et sur les conditions de nos prochaines prestations. Cela passera-t-il par une labellisation en qualité de partenaire officiel, par le Conseil International des Organisateurs de Festivals de Folklore et d’Arts Traditionnels ? Cela nous permettrait de mieux prendre en compte les frais inhérents à chacun et à l’association, pour une meilleure reconnaissance de la qualité et de la valeur de notre répertoire et de nos interventions, et une juste récompense des efforts consentis, au delà du plaisir quand à lui toujours bien présent. A bientôt de se revoir……En octobre en Drôme……

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