Intiwatana

1 juillet 2011

Musique solidaire 2011


Parmi les valeurs qui nous animent, la solidarité tient une place privilégiée, et si nos penchants musicaux nous mènent à l’exercer principalement envers les causes d’un autre continent, il ne faudrait pas oublier que près de chez nous se déroulent aussi des faits et évènements qui méritent que l’on s’arrête quelques instants, et que l’on y consacre un peu de notre énergie.

Aouste-11_juin_2011_(1)_1600x1200.jpgCe samedi 11 juin quatre membres d’Intiwatana : Anne-Marie, Martine, Philippe et moi-même avions pris l’engagement d’assurer un petit « divertissement latino » lors de la soirée donnée par une petite association de la région de Crest. Cette association créée suite à la disparition hélas prématurée et fulgurante d’un garçon de 16 ans victime d’une leucémie, nous a confirmée s’il en était besoin que solidarité et chaleur humaine n’ont pas encore disparu de ce monde.

Peu importe le contenu de notre prestation préparée spécialement pour la circonstance, formation réduite oblige, mais nous avons mis tout notre cœur à offrir quelques mélodies à un public curieux et conquis, le but principal de la soirée : être là ensemble et crier bien fort nos espoirs et notre foi en l’avenir, toutes générations confondues. Je pense que cette soirée fut réussie sous l’aspect de cette fraternité propre à déplacer les montagnes et tel était bien là l’essentiel !


5 juin 2011

Bilan du troisième Week-end 2011 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")


20110528_12.58_001.JPGAh qu’il y avait longtemps que nous n’étions pas venus chez nos amis savoyards ! En ces 28 et 29 mai, cap sur Hauteville Gondon (73) pour un week-end illuminé de soleil et d’air pur, sous l’égide de l’association Kantuta, décentralisé en la circonstance chez nos amis savoyards. 16 Stagiaires au rendez-vous, quelques têtes que nous n’avions pas vues depuis fort longtemps et retrouvions avec grand plaisir, et des « fidèles » qui traverseraient la France pour un partage, que dis-je, une communion, musico-gastronomique ? De toute façon « si tu ne vas pas à Lagardère, Lagardère viendra à toi ! » Alors bonjour « Bourg les Maurice » ! Au passage un petit coucou à notre ami Philippe Paysserand avec qui nous aurions été heureux de lever nos verres, tant pis, ce sera pour une autre fois !

Côté musique, Notre ami Julio avait quelques idées bien arrêtées :

Le samedi

  • Travailler avec les Suris, ce qui n’est pas l’exercice préféré de bon nombre d’entre nous ; une raison peut-être à cela, est la technique particulière du suri sikuri, qui conduit à une hyperventilation physiquement éprouvante, si mal maîtrisée. La conclusion de la séquence Suris, étant le travail d’un morceau original « cariquima » qui demandait beaucoup d’attention pour la mémorisation, à un moment où nos énergies déclinaient.
  • Il était temps de passer à un peu de révision, avant saturation, et nous reprenions un Italaque qui nous est cher : « Amaneceres Fiesta de Italaque »

Ceci nous conduisait jusqu’à l’apéritif et au traditionnel repas gastronomique, conçu pour la circonstance par nos hôtes du week-end, avec quelques spécialités du cru ! Traditionnelle Peña aussi avant un repos bien mérité.

Le dimanche

  • Un peu de San Miguel pour le « fun »
  • Un long travail technique sur un morceau connu mais non travaillé encore en stage « Ilavenita », et sans tablature, s’il vous plait !
  • Retour sur « cariquima » avec plus de légèreté et l’acquis de la veille….Facile….Enfin presque !

13h30 : fin du programme musical, ultime collation partagée, avec encore quelques bonnes surprises, puis vers 16h un départ échelonné des participants, avec pour la majorité d’entre eux la perspective de retrouvailles musicales fin juin à……Allevard (les 25-26) ! Au revoir la Savoie, Bonjour l’Isère !

Nous y serons nous aussi…..Et peut-être reparlerons nous du Carnaval de Dunkerque ! Pas Rio, ni Oruro, non non, Dunkerque ! hasta luego !


5 juin 2011

Quatrième concert 2011

Crest et après ?

Le samedi 21 mai, Intiwatana proposait aux crestois, une présentation de leur répertoire actuel, en l’église Saint Sauveur. Pour nous la communication avait été assurée de façon habituelle, affichage dans les communes alentour, annonces sur les diverses radios locales, en dehors de quelques messages « mail ». Oui il nous manquait vraisemblablement un relais réseau local, mais faute de mieux…. Et puis nous avons suffisamment confiance…….

Il faut dire que c’est assez récurrent depuis le début de notre campagne 2011 : partout où l’on passe, et à chaque endroit où l’on joue, (et même en dehors !) les avis sont généralement assez convergents, pour nous dire que « cette musique est superbe - pourquoi vous ne venez pas à tel endroit - vous êtes passé à tel autre et on ne l’a pas su, etc…….

Nous sommes sensibles à ces éloges bien que lucides à chaque représentation sur le niveau réel de notre prestation d’amateurs – certes éclairés – mais la réalité s’impose avec obstination : sur la base d’un concert en autoproduction reposant sur un répertoire dit « musiques des Andes » il est difficile de drainer des foules !

20110521_21.42_003.JPGLa chose est bien sûr différente lorsque nous sommes invités par un organisateur en capacité, lui, de mobiliser son réseau : le comité des fêtes, les écoles, le judo etc…(Bien qu’il y ait là aussi parfois des couacs !) ou que nous sommes à l’initiative d’un projet en partenariat. Ce fut le cas pour la Misa Criola en 2009 avec la chorale Croc’Cadence qui avait permis de récolter plusieurs milliers d’euros pour le centre infantile Gena en Equateur, ou encore le spectacle de décembre 2010 en partenariat avec l’école du Chatelard à Châteauneuf sur Isère qui vit monter sur scène plus d’une centaine d’enfants devant une salle municipale comble quasiment trop petite pour la circonstance.

Notre enthousiasme à vouloir véhiculer et faire connaître cette musique, et partager notre passion, ne doit pas non plus nous masquer les faits : un concert, c’est d’abord du travail personnel et des répétitions, (et à 6 ou 7 c’est toujours compliqué de trouver des dates qui satisfassent tous et chacun), et c’est ensuite beaucoup d’énergie. Il semble réaliste de souhaiter toucher un public en nombre, en rapport avec l’énergie investie.

En amont, déjà, il y a un important travail d’organisation : établir un calendrier en concertation, prendre les contacts, confirmer, concevoir et faire imprimer les affiches, programmer la « pub » et les contacts médias, etc……

Le matin du concert : préparer les instruments, le matériel de sonorisation, les charger, aller sur place, décharger, installer, faire les « balances » de son, accorder les instruments, et après une rapide collation, il n’y a plus qu’à entrer en scène ! Oui je le redis nous sommes amateurs, c'est-à-dire qu’il n’est pas question d’embaucher des professionnels pour la partie « caché » des spectacles, que les bénévoles qui nous aident lorsqu’ils sont disponibles, donnent beaucoup de leur énergie et de leur temps aussi, et que les quelques subsides que nous récoltons à l’entrée des spectacles ont bien du mal à couvrir les frais (déplacements, affichage, locations, etc…)

Pour les musiciens et les membres de Kantuta qui nous soutiennent, le temps d’un bilan intermédiaire est venu, il permettra de confronter les analyses et les avis, et de statuer sur la suite, deux concert restant en suspend pour l’automne. En conclusion, rassurez-vous, les membres du groupe, ne fonctionnent pas à l’audimat ou à un quelconque autre indice de satisfaction. Ils gardent leurs envies et leurs passions intactes, et ne recherchent que de temps en temps des sources de motivations pour se dépasser et s’améliorer encore. Ils recherchent également les éléments dynamiques propres à les pousser à la rencontre et au partage dans la confrontation au public. Ce site peut en témoigner, nous ne sommes pas encore à court d’évènements et de situations, pour exprimer ce qui nous fait vibrer dans l’accomplissement de notre art préféré.

5 juin 2011

Ateliers Interrégionaux Wiñayataqui « Joli mois de MAI !»


Les ateliers de flûtes de pan traditionnelles « Wiñayataqui » avaient cette année rendez-vous avec le premier Mai.

La date avait été cochée depuis de longs mois sur le calendrier, et était pointée comme l’évènement de l’année 2011 pour les Ateliers.

20110501_16.03_018.JPGNous étions une des six sociétés de musique, invitées par les organisateurs du Corso de Châteauneuf sur Isère, et notre mission était de défiler durant environ trois heures sur un parcours balisé, intercalés entre les différents chars. La troupe de seize sikuristes accueillait nos amis Isérois, Savoyards, Haut-Alpins et Parisiens, pour épauler sept Drômois, ceci sous la haute autorité del « Jefe » Julio Arguedas, débarqué sur les chapeaux de roue du TGV de 13 heures 30. Le groupe s’était retrouvé le samedi après midi, chez la « trésorière » pour une ultime répétition destinée à bien accorder ses violons…..Pardon ses sikus, sur la base d’un répertoire commun, travaillé en amont dans les stages et ateliers respectifs. (Voir liste dans bilan du deuxième stage 2011) Pour la circonstance l’association avait souhaité unir chaque musicien sous les mêmes Ponchos derrière la Wiphala, et avait chargé notre amie Sonia (originaire d’Orouro) et son mari, de confectionner les précieux habits. Et l’on peut dire que nous avions fière allure lors du récital final donné sur podium, par chaque groupe ayant participé au défilé.

Nos objectifs au-delà de notre pratique régulière, sont de perpétuer, la diffusion d’une certaine culture, de faire vivre ce collectif capable d’illustrer cette culture dans l’interprétation de ces musiques traditionnelle, de participer à des évènements de portée régionale ou nationale. Il ne faut pas oublier non plus, notre désir de cimenter ces liens forts entre pratiquants, à travers des valeurs et un état d’esprit fraternel et humaniste. Lorsque je parlais plus haut de « nos amis » venus se joindre à nous pour souffler sous le soleil de mai, ce ne sont pas que des mots : les liens tissés, au fil des ans et des rencontres variées qui les jalonnent, se solidifient et chaque retrouvaille est un pur moment de bonheur et de bien être ! Un DVD va rapidement venir illustrer les moments forts de cette journée, et témoigner de notre savoir faire

Nous ne pouvons que souhaiter d’autres rencontres, d’autres spectacles, d’autres manifestations, pour donner la mesure de la ferveur, de la force et de l’enthousiasme qui nous animent, dans la pratique de ces musiques magnifiques !


29 avril 2011

Bilan du deuxième Week-end 2011 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

IMG_1455.JPG Chatuzange 16-17 avril

Je ne m’attarderai pas trop sur ce second week-end, dans la mesure où la principale motivation des présents était explicite : sur 12 présents, 11 seront de la fête à Châteauneuf sur Isère le 1er mai.

Le contenu du programme de ce week-end en a découlé tout naturellement sous la houlette d’un Coach en forme, bien qu’arrivé pour l’apéro du samedi midi sans avoir beaucoup dormi, en provenance directe de Vendôme, où il donnait un concert la veille au soir.

Les objectifs, étaient de travailler les enchainements entre les morceaux prévus au répertoire de ce 1er mai, avec quelques aménagements par rapport aux prévisions initiales :

  • Machulas Kant’u et Khori poncho
  • Jacha Uru et Sankayo Pankara
  • La Diane et Virgencita Candelaria
  • Loco Palla Palla – Santiago de Waata et San Miguel
  • Amaneceres Fiesta de Italaque et Recuerdos de Calahuayo

Voila de quoi tenir un bon défilé ! N’est-ce pas ?

Pour le reste, stage dans la bonne humeur habituelle, un temps radieux avec Barbecue à l’appuie, une peña libre au cours de laquelle Nono va nous donner l’aubade, et nous montrer ses immenses progrès à la Kena accompagnée par un aréopage de musiciens aux talents variés, tombés sous le charme !

Rendez vous est pris pour un maximum d’entre nous, le samedi 30 avril, chez la trésorière de l’association Kantuta pour « bichonner » encore le répertoire du lendemain, et….. pour la « préparation et mise en condition psychologique » !

29 avril 2011

Troisième concert 2011

Bourg les Valence : l’Eglise Saint Pierre accueillait en ce samedi 9 avril le groupe Intiwatana pour un concert dans le cadre de sa saison 2011.

Le groupe maintenant bien rodé sur son nouveau répertoire, était confronté aux caprices d’une acoustique, comme on peut en rencontrer sous les voûtes de France et de Navarre, ou sous les hauts plafonds des gymnases ou des salles polyvalentes : une réverbération maximum, et un son tournant incontrôlable.

Parmi les spectateurs, quelques fidèles que je remercie ici pour leur soutien renouvelé et toujours apprécié. Dans les semaines à venir, le groupe sera en concert à Crest le 21 mai, et fera relâche vraisemblablement jusqu’à la rentrée de septembre, hormis peut-être les fêtes de la musique. (Nous apporterons plus de précisions dans un prochain billet)

Pour l’heure notre actualité immédiate se situe le 1er mai, (cinq membres d’Intiwatana seront de la fête !) date à laquelle les ateliers Wiñayataqui vont participer au défilé du corso de Châteauneuf sur Isère, avec quelques renforts des Sikuris Parisiens ; la quinzaine de souffleurs présents va décoiffer, ça c’est sûr !

2 avril 2011

Bilan du premier Week-end 2011 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

26 – 27 mars, la saison 2011 est lancée !

Nous en prenons maintenant un peu l’habitude : il nous faut intégrer le fait qu’à force de travail et de rassemblements, les week-ends de stages, se déroulent un peu à la carte, quand à la fréquence des participations. C’est la matérialisation de ce que nous proposons aux stagiaires : nul n’est forcé de venir à chaque stage, et c’est bien ainsi, à partir du moment où le nombre de stagiaires est suffisant pour amortir les frais fixes inhérents à chaque week-end (de 10 à 12 stagiaires) sans majorer la participation demandée à chacun qui doit rester modeste.

Cela est maintenant aussi devenu possible, compte tenu du niveau acquis dans le temps par un  « noyau dur » de fidèles qui peuvent à tout moment se greffer sur un week-end, et intégrer le cercle.

C’est aussi possible grâce au travail besogneux que nous avons assuré avec le concours de notre « mentor » pour éditer et transmettre les tablatures de tous les nouveaux morceaux. Ce travail nous est apparu nécessaire, et, est une évolution du travail initial de Julio et Carlos, qui avaient en leur temps fait transcrire les partitions d’une vingtaine de morceaux, (les standards et les morceaux travaillés lors des premiers stages). Nous avons pris en compte, qu’une majorité de participants ne déchiffre pas, et que nous n’avions pas, réunis, le savoir faire et le temps, pour poursuivre sur le mode de l’écriture musicale. Cela dit si quelque volontaire se sent des dispositions nous sommes preneurs, même si cette musique de tradition purement orale se transmet fort bien « de bouche à tuyau » et « de tuyau à oreilles ». Cela étant, nous avons fait un rapide calcul, et nous approchons les 35 morceaux travaillés, depuis le début des stages Wiñayataqui

Pour finir ce long préambule notons encore que les stages sont toujours ouverts à des novices, que les « anciens » sont très accueillants et coopérants pour des pratiquants non aguerris. Néanmoins, pour de « grands débutants » il conviendrait, après une approche de découverte, de cultiver leur technique en parallèle, dans des ateliers par exemple, et à ce sujet, nous avons la confirmation avec Sybille et Ludivine présentes en ce 26 mars, que deux années suffisent pour acquérir un niveau très correct et accéder aux morceaux les plus complexes. Nous profitons aussi de l’occasion pour relancer un « appel à débutants » pour les ateliers de Bourg le Valence, la rentrée prochaine pouvant être le prétexte à former de nouveaux aficionados, tout en dynamisant le petit groupe actuel.

Pour ce qui concerne le week-end, nous étions un groupe homogène de 10 stagiaires plus Julio. Après le plaisir des retrouvailles, le programme était défini comme suit :

  • Renforcer les dernières acquisitions de 2010
  • Travailler à établir un répertoire en vue du 1er mai où les assidus des stages Wiñayataqui vont se retrouver au corso de Châteauneuf sur Isère (siège de l’association Kantuta) pour défiler au milieu de chars et de fanfares avec l’intention bien arrêtée de se faire entendre. Des renforts sont attendus et l’on devrait être une bonne quinzaine……avec le « Patron » ! Attention, pour les hésitants, il pourrait bien y avoir un challenge à la clef ! Nous en reparlerons en temps voulu.

Après quelques exercices pédagogiques dont il a le secret, Julio nous proposait un long travail de remémorisation sur la Diane et Virgencita Candelaria, « mariées » avec San Miguel.

Puis nous enchaînions avec un montage Jacha Uru, version traditionnelle, lié à Sankayo Pankara, pour clôturer sur un Italaque travaillé fin 2010 : Amaneceres Fiesta de Italaque.

Je ne reviendrai pas sur nos maintenant traditionnelles agapes, au cours de repas gastronomiques et raffinés (encore merci à tous de se surpasser à chaque fois), ainsi que sur notre incontournable Peña libre.

Dimanche pour la journée révision, six d’entre nous faisaient de la résistance et ça « moulinait » à tout berzingue ; nous allions repasser une partie de « ceux de la veille » en y ajoutant un petite dose de quinte, et comme il restait du temps et que nous étions passés à l’heure d’été, nous avons enchaîné sur Loco Palla Palla complété par Santiago de Waata, et un montage de deux Kantu : Machulas K’antu et Khori Poncho.

Vous aurez peut-être compris qu’en vue de notre défilé, nous nous sommes attachés à peaufiner les enchaînements de morceaux. Mais n’en jetez plus ! Un peu vidés, mais repus de notes, nous nous séparions, non sans nous être donné rendez-vous pour les 16 et 17 avril pour une ultime révision à « Chatu », à laquelle vous êtes tous conviés. (Vous avez même petits veinards, le répertoire pour bosser !)

Intiwatana aura entre temps donné le 9 avril, un nouveau concert en l’église Saint Pierre de Bourg les Valence, qu’on se le dise !

Hasta luego

27 mars 2011

Second concert 2011


Carte blanche à……Anne-Marie, dans le cadre de « Itinérances » rencontres culturelles de Montélimar, Intiwatana était l’invité de la soirée, à la salle polyvalents de Châteauneuf du Rhône. Anne-Marie, avait à peine eu le temps de digérer son retour de Bogota et le décalage horaire, elle retrouvait sa place au sein du groupe.

Nous avons repris contact avec la scène avec d’autant plus de plaisir, que dans le cadre de l’intercommunalité de l’agglomération de Montélimar, nous avons bénéficié d’un plateau technique somptueux, vaste scène, régies lumière et son de qualité, techniciens son et lumière. Le son rendu en façade était très fidèle et le « mix » impeccable.

Nous avions pour la première fois, une projection vidéo en parallèle pour illustrer certains passages du spectacle.

Ce spectacle avec de nouveaux titres au répertoire se rode bien, et nous serons ravis de donner le meilleur aux spectateurs de Bourg les Valence le 9 avril.

6 mars 2011

Premier concert 2011

La saison est ouverte et le premier rendez vous en public pour INTIWATANA a eu lieu le 12 février à Saint Marcel les Valence (26).

Il s’agissait d’un premier galop d’essai pour le groupe, dans une formation à 6 musiciens, en l’absence de notre flûtiste Anne Marie, actuellement en Colombie. Le challenge a été pour nous de valider notre capacité d’adaptation et notre aptitude à évoluer à 5, 6 ou 7 musiciens.

Nous savons que le nombre de pratiquants de cette musique que l’on aime, n’est pas légion et que trouver une base musicale solide, dans un périmètre géographique concentré est très aléatoire.

Il faut pour pérenniser un groupe d’un bon niveau musical avec des instrumentistes polyvalents, soit de la chance, soit de la patience, ou alors un enthousiasme communicatif propre à convaincre quelques personnes de votre entourage. Ne reste plus ensuite qu’à faire prendre la « mayonnaise » et veiller à ce qu’elle ne retombe pas !

Je pense que suite à ce premier concert, les objectifs musicaux sont atteints, et que le répertoire présenté ce samedi soir était solide et de qualité.

20110212_22.20_002.JPGNous avions pour la circonstance choisi de solliciter quelques fidèles parmi les participants des ateliers de Bourg les Valence, et des stages Wiñayataqui. Les trois morceaux traditionnels au programme de la soirée ont donc été interprétés par onze sikuristes, ce qui eut pour avantage premier de permettre une ornementation harmonique conséquente avec octave et tierce.

Grâce à ce renfort, nous avons pu présenter au public, des facettes de la musique dite « des Andes » souvent méconnues, et que nos amis en soient pour cela remerciés. Le public fut chaleureux même si l’on peut regretter qu’il n’ait pas été un peu plus fourni, mais d’autres dates de spectacles se présentent, Anne Marie sera de retour, et nous serons encore plus présents au niveau de la communication.

Rendez vous à Châteauneuf du Rhône le 19 mars, qu’on se le dise !

5 février 2011

Calendrier 2011

Le calendrier 2011 est en ligne, il recense toutes nos activités, concerts, animations, stages, etc...

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