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dimanche, septembre 28 2014

Guitare Charango, bilan du 2ème Week-end 2014 « cordes amérindiennes »

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

Cinq "gratteurs" se sont retrouvés avec un plaisir partagé en ce week-end de septembre à Châteauneuf. Programme conforme à nos plans habituels : Guitare et Bandolin le samedi, et Charango le dimanche. Petite variante avec un travail en parallèle le dimanche : charango - accompagnement guitare, sur un grand standard de nos amis brésiliens "La garota de Ipanema"

Samedi matin : Travail sur gammes d’accords guitare et barrés, majeurs, mineurs, mineur 7, diminués, et renversements dans les tonalités de Ré La Mi. Enchainement et mise en rythme.

L’après midi reprise au Bandolin de l’alerte cachullapi d’Equateur "Puñales" avec accompagnement guitare.

Samedi soir un break salutaire autour d’une mega-paëlla avec quelques amis venus en renfort, vint conclure la journée dans une ambiance conviviale.

Dimanche donc, mise en pratique du travail de la veille concernant la guitare, et travail d’adaptation au charango sur le même morceau "La Garota de Ipanema"

Enfin, pour conclure, une première approche d’un villancico de Sucre en trois thèmes, sur un rythme de chuntunqui, au "melodico". 17h, on peut relâcher la tension et faire craquer un peu les doigts endoloris, "y a d’la matière" pour les semaines et mois à venir.

vendredi, mai 3 2013

Bilan du deuxième Week-end 2013 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")


stage_avril_2013.jpg18 sikuristes sont présents à l’appel du samedi, avec hélas un grand absent : le printemps et son beau temps, pour tout dire c’est même carrément la "caillante" qui va nous confiner intra-muros tout le week-end.

Nous retrouvons avec grand plaisir bon nombre d’absents du stage précédent, ce qui va induire fortement le contenu du programme : reprise du Sikuri Arawi, qui est tout de même très "costaud", révision des Cairani en chantier, et travail sur deux petits nouveaux : "Porque te vas" et "Tacna querido".

Finalement, pour se réchauffer il suffit de souffler encore plus fort…….Mais il s’avère qu’il est difficile de saisir à la première écoute, les nuances rythmiques et toutes les notes des phrases mélodiques.

La musique de Cairani, nous emmène sur des chemins qui nous sont moins familiers, il nous faut nous "reformater" les oreilles ! Au fil de la journée, les choses vont se mettre en place, non sans revenir à de vieilles recettes qui ont fait leurs preuves : le travail en petits groupes éclatés, qui se forment spontanément lors des pauses.

Je pense qu’il ne sera pas fortuit de reprendre tout cela lors de notre rendez-vous des 1 et 2 juin, car à propos de vieilles recettes qui marchent, le principe de répétition ne déçoit jamais.

A la prochaine par un un temps plus clément………… Au mois de juin on peut l’espérer, tout de même !


dimanche, mars 24 2013

Bilan du Premier Week-end 2013 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")


0006.jpgC’est parti pour cette saison 2013, en ces 9 et 10 mars, sous le soleil radieux de Chatuzange.

14 sikuristes sont présents, impatients de s’y "recoller" au plus vite.

Quelques empêchés nous ont contactés pour nous faire part de leur grand désarroi de ne pouvoir être parmi nous. Ils se rattraperont à la prochaine…………Et on y compte bien n’est-ce pas Marie-France, Ruth, Magali, Armelle, Sybille, Ludivine, Philippe, Joaquin…………. Et tous ceux que j’oublie !

Au passage, bienvenue à Véronique qui nous rend visite pour la première fois, ceci permettant de rappeler aux lecteurs de ces lignes, qu’ils seront bien évidement chaleureusement accueillis, si l’envie, la curiosité, ou le démon des souffleurs les pousse jusque par chez nous !

L’année commence sur un morceau de bravoure la finalisation du Suri Sikuri Arawi que nous avions travaillé à l’aube de l’année 2012. Il s’agissait de compléter la 1ère partie lente acquise en 2012, par la partie Wayño.

Nous avons patiemment appris au fil des stages à considérer les Suris autrement que comme des instruments de torture, avec la maitrise du souffle très particulière qu’ils exigent. Et au bout du compte nous prenons un vrai plaisir à jouer ce morceau qui est mélodiquement et esthétiquement très abouti, il faut en convenir.

Le second challenge du Week-end était de faire partager au groupe l’expérience des "Zampoñas Dore" de Cairani, que nous avons reçues récemment, des mains de notre ami Tomas Jesus Alarcon dans les locaux de l’OMPI à Genève. Ces flûtes métalliques sont une autre approche, une autre expérience, des sensations nouvelles que nous allons essayer d’apprivoiser avant le périple d’une partie du groupe au Pérou.

"Cholita Calacaleña"  vient donc s’ajouter aux deux « Cairani » précédents "El Caplina" et "4 de diciembre", trio que nous avons repris en boucle en plein air, lors d’un dimanche matin de printemps. Le soleil nous permit aussi, comme la veille, de dresser notre table en pleine nature, ce qui fut ma foi fort agréable, tout comme ce week-end de retrouvaille, unanimement apprécié.

Rendez-vous-même heure, même endroit le 6 avril.