Intiwatana

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samedi, octobre 24 2009

INTIWATANA et les ateliers de flûtes traditionnelles

                               Depuis de longues années des musiciens du groupe, entretiennent des liens étroits avec le clan des souffleurs invétérés, cercle restreint de passionnés, avec lesquels nous essayons de cultiver des relations suivies et constructives. Dans l’hexagone, quelques centaines de « fous » du soufflet, se réunissent dans leur région, leur chapelle, leur microcosme, pour satisfaire à leur addiction favorite : la flûte de pan !

Nous poursuivons nous, une idée, depuis des lustres (d’autres l’ont fait avant nous, d’autres le feront après !) : fédérer un grand nombre de ces fans pour partager notre plaisir. Il est bien connu que plus on est de fous(fleurs) ! Plus on rit ! Nous voulons cependant afficher notre originalité dans l’affirmation du respect que l’on témoigne à nos « grands frères » venus du continent Sud-Américain, en valorisant leurs compétences et leur savoir faire, et en nous efforçant de promouvoir leur culture. C'est le principe que nous avons adopté, à travers la série de stages qui ont été organisés par l'association Kantuta, sous la haute autorité de notre ami Julio Arguedas, musicien professionnel, et de son suppléant et complice Evert Tito.

Et là, bonne nouvelle, après les stages :

LES ATELIERS ! ! !

La MJC Jean Moulin à Bourg les Valence, a accepté de nous accueillir, pour insuffler notre passion aux amateurs de la région. Le créneau qui nous est accordé sera le Lundi soir à 20h30.

Débuts le lundi 9 novembre

Nous espérons avoir suffisamment engrangé au fil des ans pour pouvoir faire passer notre acquis, et les membres aguerris d’INTIWATANA vont assurer l’accompagnement des participants.

Ces ateliers seront ouverts à votre curiosité et à vos attentes, mais pour notre part, nous espérons qu’ils seront aussi une étape, un tremplin vers d’autres perspectives et d’autres projets.

Les « mordus » qui ont commencé les stages sur la région cette année, sont bien sûr attendus, et nous serons comblés que d’autres amateurs débutants, musiciens ou non, (pas de connaissances musicales requises) viennent se joindre au groupe. Le matériel vous sera fourni, l’association KANTUTA assurant le parrainage.

Parlez-en autour de vous, si possible, ne venez pas seuls, car cette musique se pratique par paires

lundi, octobre 5 2009

Bilan du Cinquième Week-end de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

Chatuzange « deuxième »

Nous on aime (et ça rime !)

Pour cette reprise d’octobre, nous sommes restés fidèles à la campagne de Chatuzange et au cadre bucolique et accueillant de « La Perelle ». Cette imposante bâtisse, nous offre la possibilité de travailler en intérieur, en extérieur, ou en semi couvert sous le grand hangar, endroit par ailleurs propice, nous l’avons constaté ce samedi, à la prise de son. La qualité de l’accueil de Geneviève, notre hôtesse, une fois de plus au « top », et son hospitalité nous facilitent en outre bien les choses. De plus Mister Météo nous avait réservé un week-end de rêve, et octobre ou pas, l’option « extérieur » a largement prévalu.

Pour ce stage, un petit évènement : Julio la mort dans l’âme, avait dû renoncer pour raisons professionnelles de prime importance. Ce fut pour nous l’occasion de revoir avec grand plaisir, notre ami Evert Tito, vieux complice de Bolivia Manta, qui avait déjà co-animé le stage de Vesc en 2007 (avec Carlos). Une fois encore, la qualité des participants fut un gage de réussite, que ce soit les débutants de l’année qui progressent à grand pas, les nouveaux venus qui s’intégrèrent sans difficulté, les anciens qui assurèrent la solidité du cadre. Et nos amis Grenoblois étaient de retour comme ils l’avaient promis !

18 stagiaires le samedi, 17 le dimanche, ça sonnait clair et fort !

Les grandes lignes du programme étaient bâties autour du répertoire en gestation pour le 15 novembre. Vous allez me dire : « mais c’est quoi ça le 15 novembre ? ». J’avais effleuré le sujet lors du dernier stage, et précisé le projet de notre « mentor » lors de notre prestation de Satillieu en juillet : Julio, s’est fixé le challenge de réunir sur une scène parisienne à cette date, des représentants issus des stages Wiñayataqui, des membres des ateliers parisiens, et quelques sikuristes de ses proches connaissances. La scène du Palais de l’UNESCO avec toute sa symbolique, était pressentie. Je ne m’attarderai pas sur les obscures raisons qui n’ont rien de musical, qui vont finalement nous obliger à un repli stratégique, sur une autre scène, mais l’envie étant plus forte que tout le reste, ce ne sera qu’un « petit détail » ! Et le théâtre de la cartoucherie de Vincennes, c’est pas mal non plus ! On peut penser que cette première aura des suites, et que les absents, y compris les débutants des stages 2009, trouveront à l’avenir l’occasion de démontrer leur talent lors de manifestations en public; le noyau des « Drômois » va s’y atteler.

Pour en revenir au répertoire, 4 titres étaient au menu, et le seront encore en novembre : Machulas K’antu, Sankayo Pankara, Santiago de Waata et San Miguel.

Chatuzange_3-4_oct_09_27-01.jpg Avec Evert, Nous nous sommes attachés à travailler sur le rythme et les syncopes des morceaux, et les choses avancent mais il reste encore du boulot ! Nous avons relâché un peu dimanche en fin de journée, Evert nous faisant découvrir un petit nouveau de Taquile dont le titre est resté mystérieux !

Pour la suite et fin, de la série 2009 (en attendant 2010), le site de Chatuzange, sera conservé si Geneviève est disposée à nous accueillir de nouveau. La possibilité d’héberger sur place, pour une participation modique (10 € / nuit) les stagiaires venant de loin, est un plus. Nous avons tenté pour le stage d’octobre, de ramener la participation aux repas de 7 à 6 €, en gérant au plus près. (Merci encore aux participants d’être précis sur leurs inscriptions)

C’est une nouvelle occasion d’adresser des remerciements appuyés à Martine (comme vous l’avez tous fait ce week-end), Martine qui est en charge de la logistique, et pour qui les week-ends de stages commencent le vendredi matin par les courses et la cuisine, condition première pour elle si elle veut pouvoir aussi souffler dans les tuyaux le samedi et dimanche.

C’est sur ces considérations plus terre à terre, que nous allons nous quitter, en disant « bienvenue à vous » stagiaires des 7-8 novembre, venez nombreux pour cette conclusion 2009.

Dernière précision : nous attendons des réponses imminentes à nos sollicitations, pour débuter sur la région valentinoise des ateliers de sikuris, avec le souhait de partager notre plaisir et de former la relève ! Des détails dans un prochain billet sur ce site.

samedi, juillet 18 2009

Bilan du Quatrième Week-end de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

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S’il fallait un qualificatif à ce week-end de stage, quatrième de la série, ce serait « Champêtre » ! Après Saint Donat et ses locaux spacieux et confortables, ce fut Chatuzange, toujours en Drôme, chez une grande amie de la musique : Geneviève Judes. La rencontre avec la fraîcheur et la quiétude d’un coin de verdure, la force rassurante des vieilles pierres de cette ancienne magnanerie, et le savoir-accueillir et le charme discret de notre hôtesse .

20090627_Atelier_4-2.jpgNous étions 14 pour ce week-end…..Eh oui ! Quelques heureux souffleurs faisaient déjà relâche en ces temps estivaux, mais nous avons l’assurance qu’ils reviendront vers nous à l’automne. Et un nombre pair, que demander de plus pour des sikuristes !

Au programme du samedi : révision de Aguita de putiña, travail approfondi pour les débutants avec Julio sur ce même morceau, puis long travail, d’apprentissage pour certains et de re-mémorisation pour d’autres, sur un monument : Machulas Kantu, Samedi soir petite peña libre devant le barbecue et quelques breuvages (souffler donne soif !), et un petit moment musical partagé avec les membres de l’association de notre hôtesse « musique des Andes et orgues de barbarie » vous voyez le genre ? Non ? Tant pis ! Ce fut l’occasion pour les « vieux grognards » de faire résonner le grand hangar et ses charpentes centenaires des accents d’un sikuri de derrière les fagots appris « à la sauvette » entre 19 et 20h par notre animateur « bien aimé », nom du bébé : San Miguel, un petit bijou.

Pour les quelques courageux du dimanche, 10h30 en piste pour une séance de technique bienvenue, qui ramène, même les plus chevronnés, à l’humilité. N’y voyez aucun signe de masochisme, mais il est parfois doux de souffrir un peu, d’autant plus lorsque le « tortionnaire » sait y mettre la manière. Et après le repas, une ultime séance de révision, où les morceaux qui s’enchaînent vous font rapidement oublier les vapeurs de verveines accumulées depuis la veille au soir, à moins qu’elles ne se transforment ?

Il est temps de se séparer, de prendre date pour octobre, vraisemblablement dans ces mêmes lieux accueillants. Toutefois, il me semble avoir entendu que quelques « forcenés » se donnaient rendez-vous pour filer un vieux coup de main au groupe Intiwatana le 14 juillet à Satillieu pour un défilé « trad » (veinards ces Ardéchois !), des renforts seraient attendus de Paris (si, si, si !) Et peut-être notre ami Julio en personne, qui trace avec méthode son sillon, pour un projet en novembre, mais…..Chut !

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jeudi, juin 4 2009

Bilan du Troisième Week-end de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

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Troisième « round » des stages de flûtes traditionnelles en Drôme, les 23 et 24 mai. Nous avions pris l’option de mettre le cap sur le nord-Drôme, et les circonstances et un peu le hasard, nous firent nous retrouver dans un cadre accueillant sur un site tout à fait adapté à notre groupe à Saint Donat, là même où la semaine précédente, Croq’Cadence et Intiwatana donnaient leur 8ème concert…….Le monde est si petit ! 16 stagiaires pour ce 3ème épisode, dont 13 ayant déjà participé à l’un des deux premiers. Les « accros » bien sûr, mais aussi des néophytes qui semblent prendre de plus en plus de plaisir à la pratique de la flûte de pan, façon Bolivia !

Nous utilisions, Grande première, les « troupes » de K’antu, Italaque et Suri, que l’association Kantuta avait acquises, avec la complicité du réseau de Julio notre animateur, en Bolivie, non sans quelques péripéties douanières sur lesquelles nous passerons pudiquement, péripéties surmontées avec énergie et ténacité par notre trésorière.

Nous eûmes aussi l’honneur d’accueillir parmi nous, une bonne partie du samedi, venu en voisin de Soyans, notre ami estimé Victor Rodriguez, membre de Peru Inka. Il venait, attiré par les échos de je ne sais quel vent, et les rumeurs portées par je ne sais quelle « Quebrada », se purifier un peu aux sources, en même temps que nous faire profiter de sa science du souffle divin. Je crois qu’il n’a pas regretté…Et nous non plus !

Pour le répertoire travaillé, Julio avait choisi la continuité, mais en intégrant toujours plus d’harmoniques, octaves et quintes notamment, et en insistant sur la technique : « jouer relâchés, bien allonger les notes, travail par séquences….. » Démarrage sur un Suri Sikuri, puis Dos Sikuris, Santiago de Waata, Sankayo Pankara, et Wallima. Chaque fois que cela fut nécessaire, des sous groupes se sont constitués, pour travailler à différentes vitesses, sur des passages épineux, sur des transitions délicates, sur des phrasés plus délicats à mémoriser, etc…etc…. Notes savamment tissées et Harmonies délicieuses se sont poursuivies tard jusqu’à l’apéritif du soir vers 20 heures, apéritif tant attendu et bien mérité pour nos palais asséchés.

La soirée s’est poursuivie par une vraie Peña libre autour d’un barbecue, de quelques verres, et surtout avec des airs de musique venus de l’autre côté de l’Atlantique, chacun mettant tout son cœur, sa bonne humeur et son ardeur à participer à la fête.

Le lendemain quelques 11 courageux, acharnés, passionnés ou les trois à la fois étaient au rendez-vous à 10 heures pour parfaire et approfondir le travail. Le « Maître » semblant satisfait de l’avancée du travail de ses émules, a évoqué de beaux projets pour la fin de l’année, mais nous aurons l’occasion d’y revenir Les membres du groupe Intiwatana présents au stage ont proposé quand à eux à quelques stagiaires de venir les épauler sur une animation dans la région pour le 14 juillet…..La prolongation concrète des effets de stages prolifiques et fédérateurs. Notre prochain rendez-vous est prévu pour les 27 et 28 juin vraisemblablement encore à Saint Donat, cela vous sera confirmé dans quelques jours.

L’approche des vacances va éloigner de nous quelques ouailles en juin, mais le nombre des participants potentiels est conséquent, puisque vous êtes près d’une trentaine à avoir participé à un, deux, ou trois week-ends Wiñayataqui depuis le début de l’année. Il ne devrait pas y avoir de souci, pour nous retrouver une douzaine ou une quinzaine d’aficionados pour ce 4ème volet, quitte à dénicher encore (il est encore temps) quelques novices ;

En attendant de voir ou revoir à l’automne, nos amis de Grenoble, et de Bourg Saint Maurice, venir grossir les rangs, ils l’ont promis, il va nous falloir songer (les cadres Drômois assidus des stages) à lancer les ateliers sur le plan local, pour prolonger et faire fructifier la dynamique en cours……A suivre….

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lundi, avril 6 2009

Bilan du Deuxième Week-end de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

En cet ensoleillé premier week-end d’avril, nous avions pris la clef des champs, pour nous installer, toujours en Drôme du côté de Chabeuil, mais dans le cadre champêtre du quartier des Faucons. Julio, dût faire face à une extinction de voix, au soir du premier jour, mais du moment qu’il pouvait souffler ! . . . .

19 participants à ce deuxième week-end, dont 11 ayant effectué le premier, intéressant d’être suffisamment nombreux lorsqu’il s’agit de « tisser » les quartes, les quintes ou les octaves. Toujours la même volonté d’intégrer rapidement les nouveaux et débutants, et puis Julio n’a pas son pareil pour sentir le moment ou il est nécessaire de scinder le groupe en deux pour approfondir un passage délicat avec certains, ou permettre à d’autres de « lâcher un peu les chevaux ».

On attaque fort le samedi avec un suri sikuri, afin de bien mettre en évidence pour les joueurs novices, la technique du jeu dit « à réponse ».

Ensuite on continue de se chauffer avec l’Italaque vu lors du stage précédent « Dos Sikuris ». Puis après un repas pris au soleil du printemps naissant, on travaille un Huayno de Puno tiré du répertoire de nos amis de Bolivia Manta « Sankayo Pankara ». Et une fois que ça tourne bien rond, petit plaisir des oreilles, on agrémente le cercle des souffleurs de quelques Zankas et Chulis pour s’immerger dans les harmonies.

Nous reprendrons encore le K’antu « Huallima », commencé lors du week-end de mars, et le dimanche les courageux, reverront le Suri, le Huayno le K’antu et commenceront à mémoriser « Lakitas » un autre Huayno à la technique particulière.

Puis 16 heures arrivent il faut « plier » et nous séparer, un peu vidés mais impatients de remettre ça au plus vite, en principe les 23-24 mai après le jeudi de l’Ascension. Il nous faudra au plus vite quelques confirmations, afin de valider cette date, nous avons fait un petit sondage lors du dernier stage et ça s’annonce pas mal.

J’en profite pour redire au personnes qui s’inscrivent de le faire de façon définitive si possible, et de confirmer également de manière ferme les repas, c’est plus facile pour les bénévoles qui font les courses, de gérer « le trop ou le pas assez ». Ça permet également de prévoir précisément les besoins en flûtes, et en surface de locaux. Merci à vous de nous aider dans ce sens.

A bientôt de vous voir ou de vous revoir, et venez nombreux, en vous rappelant qu’il est encore possible à des débutants de nous rejoindre.

samedi, mars 21 2009

Bilan du Premier Week-end de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")

20090314_17_30_013.jpg

Ce stage de flûtes traditionnelles Andines, se déroule sur plusieurs week-ends, sous l’égide de l’association Kantuta, en lien avec les musiciens du groupe Intiwatana.

La première date retenue était celle des 14 et 15 mars 2009. Pour des raisons pratiques de confort, et compte tenu du nombre de participants, nous avons choisi les locaux de la salle de Cluny, loués à la mairie de Chabeuil (26), pour accueillir ce stage.

Réussite, pour cette première en 2009, sur la vingtaine de pré-inscrits, 17 étaient bien présents, les empêchés de dernière heure ayant quand à eux d’ores et déjà pris rendez-vous pour les prochaines dates.

Des stagiaires, indépendants (débutants ou non), venus de la région Valentinoise, de Lyon, ou issus des ateliers de nos amis de Gap et de Grenoble, d’anciens membres du groupe Intiwatana, quelques têtes nouvelles, étaient au rendez-vous : la suite s’annonce prometteuse ! La prochaine date, les 4 et 5 avril, est déjà confirmée, puisque l’on peut déjà compter sur un minimum de 15 pré-inscrits. (et que les inscriptions restent ouvertes)

Notons, que les buts définis restent identiques :

  • fédérer par le biais de cette initiative, le cercle des pratiquants locaux et régionaux ;
  • ouvrir cette discipline musicale rare, à de nouveaux publics, pour pouvoir à terme, pérenniser localement, la création d’ateliers de flûtes traditionnelles.

Il se pourrait que dans l’avenir, d’autres projets émergent, pourquoi pas autour de la danse et des percussions……?

Je profite de ce billet, pour repréciser que les stagiaires s’inscrivent pour la journée du samedi, sur la base d’un temps fixé pour un travail encadré, sous la houlette de notre ami Julio Arguedas, musicien professionnel Bolivien de talent, faisant autorité en la matière. Nous faisons en sorte que les lieux et locaux retenus pour le déroulement du stage, soient également accessibles le lendemain, pour pouvoir poursuivre le week-end en gestion dite « libre ». Ceci n’exclut pas, (comme pour ce premier stage) que l’animateur, si son agenda le lui permet, soit encore présent le dimanche pour continuer à « souffler » avec les stagiaires de manière plus informelle. Ce 14 mars une douzaine de participants, ayant fait le choix de rester, ont pu approfondir au cours du dimanche le travail de la veille, et même aborder la technique caractéristique des Suri-Sikuris.

A l’occasion de cette première rencontre, 3 morceaux ont été travaillés, 2 Sikuris de Italaque, et 1 K’antu ; les débutants au nombre de quatre, ont été intégrés au groupe dès le départ, et s’en sont ma fois, fort bien sortis. 3 bombos étaient en soutien rythmique. A 18 heures 30, les personnes ayant choisi de rester, ont souhaité poursuivre jusqu’à 20 heures, et ont travaillé un superbe K’antu, « Huallima » proposé par Julio, morceau approfondi le lendemain.

Le samedi soir, se voulait convivial, suivi de la « peña libre » et après un bon repas, (merci à Martine et à toutes les "petites mains") chacun a pu apprécier et participer à une soirée musicale de qualité. Il n’est pas exclus que le groupe de stagiaire n’ait pas l’opportunité de démontrer son talent musical sur une scène de la région, lors de la soirée du samedi, au cours d’une prochaine rencontre.

Il nous restera de ce premier temps de rencontre, quelques traces, puisque les 3 morceaux vus le samedi sont couchés sur partitions, et que Samuel, l’un des stagiaire, à fait à titre bénévole, une prise de son des œuvres interprétées sur son matériel.

Précisons encore que le coût de ces Week-ends est calculé au mieux des intérêts de tous :

  • Des stagiaires bien entendu, puisqu’une fois l’adhésion de 10 € réglée à l’association organisatrice lors de la première inscription, le week-end, ne revient actuellement qu’à 35 € pour les frais pédagogiques.
  • Mais aussi, de l’animateur qui se déplace de Paris et, de surcroît doit assumer la logistique, en faisant en sorte, que le nombre de « troupes » d’instruments soit en rapport avec le nombre de participants. (en faisant appel aux instruments de certains amis stagiaires outillés et coopérants, si nécessaire)

Nous nous retrouvons donc pour la majeure partie d’entre nous, plus quelques nouveaux, au début du mois d’avril, les 4 et 5, avec le même enthousiasme et la même ferveur, en compagnie de Julio qui ne m’a pas caché sa grande satisfaction à l’issue de ce dimanche de mars. Sa motivation est communicative, sa disponibilité est totale, sa compétence et votre talent font le reste !

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mercredi, février 18 2009

Stage du flûtes 2009

Sous l’égide de l’association KANTUTA, un projet d’organisation de stages sous forme de journées/week-ends est à l’étude. Ces stages ont pour but de :

  • fédérer le cercle des pratiquants locaux et régionaux de flûtes traditionnelles andines
  • développer cette musique en l’élargissant à de nouveaux publics
  • rechercher des manifestations pour diffuser cette musique et sa culture

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samedi, octobre 20 2007

Stage de flûtes traditionnelles Vesc 2007

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