Intiwatana

Bilan du premier Week-end 2012 de Stage Wiñayataqui

Wiñayataqui ("Ce qui se perpétue")


IMG_4088-1.JPGLa saison 2012 débute en fanfare les 17 – 18 mars.

17 fidèles se retrouvent pour cette première : quelques absences ponctuelles mais excusées, quelques retours et même une personne nouvelle. Tout cela laisse augurer d’une saison prometteuse riche en qualité.

Comme à son habitude, Geneviève nous accueil dans son havre de Châtuzange, et le soleil pré-printanier va nous permettre de travailler en extérieur tout le samedi. Le programme sera simple samedi : suris sikuris Arawi, dimanche : siku-moreno de Yunguyo.

Les deux morceaux présentent l’avantage d’apporter quelques variantes à notre répertoire existant, et procèdent d’une évolution graduée du niveau de difficulté auquel nous sommes confrontés. Le Suri est abordé en douceur, après une approche astucieuse du coach, on y arrive presque par accident, sans s’en apercevoir ! "Il n’y a plus qu’à", ensuite travailler par séquences pour "imprimer".

La fin de journée du samedi, autorise une petite relâche sous forme d’une reprise maîtrisée haut la main, de la Diane et de la Virgencita Candelaria. Mais une petite révision ne peut pas faire de mal ! Une soirée Peña plus feutrée qu’à l’habitude, du fait que nous ayons transféré pour une fois nos « quartiers » à proximité des appartements privatifs de notre hôtesse, nous permet néanmoins de conclure cette journée sur quelques notes convivialement partagées comme il se doit.

Je ne m’attarderai pas sur les considérations gastronomiques rituelles, prière de vous reporter aux billets de 20011……

Dimanche, si le siku moreno, semble plus rapidement assimilable, il n’en demeure pas moins qu’avec quatre parties et thèmes distincts, l’introduction de Huayño, la marche, la danza et la fugue, il nécessite quelques efforts de mémorisation, et la capacité à passer d’un rythme à l’autre sans faillir.

17 heures, arrêt sur l’image (et sur le son !) Rendez-vous est pris pour les 21 & 22 avril……

Avec peut-être une surprise, sous forme d’une autre famille de flûtes : les Jacha siku……. Mais chut………